... à 22 h, annonce du Commandant : "il y a une baleine à tribord"
Je me précipite à la passerelle car c'est le meilleur point d'observation et de plus les naturalistes sont là pour nous informer. Le Commandant stoppe le Boréal et le fait avancer très doucement et silencieusement.
En fait il y a deux baleines : une baleine bleue accompagnée de son baleineau ...
et en grossissant ...
La baleine bleue est une baleine à fanons, dont la peau tachetée peut être grise ou bleutée, d'où son nom. Elle a été longtemps chassée et heureusement, actuellement elle est protégée.
Ce qui est le plus impressionnant, c'est sa taille (elle peut atteindre 30 m de long). Nous avons devant nous le plus gros animal vivant à notre époque et probablement, le plus gros ayant jamais vécu sur terre. Mais il faut être patient, car pour l'apercevoir quelques secondes, il faut attendre. En effet, elle peut rester jusqu'à 20 minutes en plongée.
22 h 44 on repère le souffle et l'évent au dessus de la tête ...
on voit bien son dos et la petite nageoire dorsale en forme de pointe ...
le petit est à coté ...
22 h 53, elles réapparaissent ...
et soufflent ...
on devine la tête sous l'eau ...
la mère sort une nageoire pectorale ...
et replonge ...
22 h 56, elles laissent approcher le navire et ne semblent pas du tout dérangées par notre présence ...
Nous prenons des photos des flancs, car pour identifier les baleines bleues, les scientifiques utilisent les taches et les dessins qu'elles forment sur les flancs. La naturaliste Aude, spécialiste des baleines nous demande de lui envoyer quelques photos des flancs et après avoir consulté les dossiers canadiens, une semaine plus tard, Aude nous confirmera que ces 2 baleines n'étaient pas répertoriées. Désormais, elles le sont. Nous y avons modestement participé ...
23 h ...
23 h 22, ce sera la dernière photo, avant que nos 2 plongeuses nous quittent ...
Je me précipite à la passerelle car c'est le meilleur point d'observation et de plus les naturalistes sont là pour nous informer. Le Commandant stoppe le Boréal et le fait avancer très doucement et silencieusement.
En fait il y a deux baleines : une baleine bleue accompagnée de son baleineau ...
et en grossissant ...
La baleine bleue est une baleine à fanons, dont la peau tachetée peut être grise ou bleutée, d'où son nom. Elle a été longtemps chassée et heureusement, actuellement elle est protégée.
Ce qui est le plus impressionnant, c'est sa taille (elle peut atteindre 30 m de long). Nous avons devant nous le plus gros animal vivant à notre époque et probablement, le plus gros ayant jamais vécu sur terre. Mais il faut être patient, car pour l'apercevoir quelques secondes, il faut attendre. En effet, elle peut rester jusqu'à 20 minutes en plongée.
22 h 44 on repère le souffle et l'évent au dessus de la tête ...
on voit bien son dos et la petite nageoire dorsale en forme de pointe ...
le petit est à coté ...
22 h 53, elles réapparaissent ...
et soufflent ...
on devine la tête sous l'eau ...
elles restent proches l'une de l'autre ...
la mère sort une nageoire pectorale ...
et replonge ...
22 h 56, elles laissent approcher le navire et ne semblent pas du tout dérangées par notre présence ...
Nous prenons des photos des flancs, car pour identifier les baleines bleues, les scientifiques utilisent les taches et les dessins qu'elles forment sur les flancs. La naturaliste Aude, spécialiste des baleines nous demande de lui envoyer quelques photos des flancs et après avoir consulté les dossiers canadiens, une semaine plus tard, Aude nous confirmera que ces 2 baleines n'étaient pas répertoriées. Désormais, elles le sont. Nous y avons modestement participé ...
23 h ...
23 h 22, ce sera la dernière photo, avant que nos 2 plongeuses nous quittent ...
Après ce moment émouvant, à côté de ces énormes bêtes, nous retournons à la cabine. Il est temps de faire les valises.
Demain nous débarquons à Longyearbyean.